pensée collante de maurice vernis
[...] lorsque je conçois une ligne droite, je la tire par la pensée , c'est-à-dire que, par une seule et même opération, j'en détermine les divers points, et, en même temps que je les détermine , je les joins entre eux : c'est en la créant ainsi par l'activité de mon esprit que je la connais, et le concept que je forme de l'unité de cette ligne vient de la conscience que j'ai à priori de l'unité de l'opération intellectuelle par laquelle je l'ai construite [...] Théophile Desdouits, La philosophie de Kant d'après les trois Critiques, 1876.
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